J'ouvre le
dictionnaire à la lettre « L »
L pour liberté....disparue !!!!
Tombée à terre, en miettes ou égarée, voir oubliée.
Les gens n'ont rien à se mettre sous la dent.
Si l'on souhaite sortir de la préhistoire par le haut,
si l'on ne veut pas que l'homme quitte l'homme,
passons du réglementaire à l'enchantement.
Equilibre stable avec le désir. Du bon usage de la vie.
Il faut accompagner sa quête de liberté.
Je ne reste pas devant une porte fermée.
Je suis sans importance, d'une période écoulée, trop vieux pour ouvrir une nouvelle jeunesse, mais je rassemble mon souffle.
J'ai fais le choix d'être libre : j'y vais !
A vol d'oiseau, c'est ma conquête.
Avec ma carriole avinée et vieillotte,
qui titube et cahote, toujours dans une ivresse lucide,
j'emporte l'écho de mes rires de p'tit môme insignifiant.
Je marche de côté, sur des chemins de fortune.
Je suis ma bonne étoile qui brille au firmament, près de la votre.
Je glisse mes pas là où je n'ai jamais cheminé.
Je traverse des cathédrales. Je vais à ciel ouvert.
Je rencontre le présent, le passé, l'avenir et des volontaires égarés.
L'inconnu, le facétieux, le voyageur, le silencieux, le sédentaire,
le chercheur d'âmes, et j'en oublie certainement,
je suis l'étourdi sur tapis volant.
Le nez au vent, je retrouve mon naturel, donc la liberté.
Je dois recoller les morceaux.
Celui qui répare son réel, et se prend à rêver, goutte à la délivrance,
et d'amour peut se soûler.
Ayez l'audace amusante de ne pas vous empêcher.
Celui qui attend ne voit rien arriver.
L pour liberté....disparue !!!!
Tombée à terre, en miettes ou égarée, voir oubliée.
Les gens n'ont rien à se mettre sous la dent.
Si l'on souhaite sortir de la préhistoire par le haut,
si l'on ne veut pas que l'homme quitte l'homme,
passons du réglementaire à l'enchantement.
Equilibre stable avec le désir. Du bon usage de la vie.
Il faut accompagner sa quête de liberté.
Je ne reste pas devant une porte fermée.
Je suis sans importance, d'une période écoulée, trop vieux pour ouvrir une nouvelle jeunesse, mais je rassemble mon souffle.
J'ai fais le choix d'être libre : j'y vais !
A vol d'oiseau, c'est ma conquête.
Avec ma carriole avinée et vieillotte,
qui titube et cahote, toujours dans une ivresse lucide,
j'emporte l'écho de mes rires de p'tit môme insignifiant.
Je marche de côté, sur des chemins de fortune.
Je suis ma bonne étoile qui brille au firmament, près de la votre.
Je glisse mes pas là où je n'ai jamais cheminé.
Je traverse des cathédrales. Je vais à ciel ouvert.
Je rencontre le présent, le passé, l'avenir et des volontaires égarés.
L'inconnu, le facétieux, le voyageur, le silencieux, le sédentaire,
le chercheur d'âmes, et j'en oublie certainement,
je suis l'étourdi sur tapis volant.
Le nez au vent, je retrouve mon naturel, donc la liberté.
Je dois recoller les morceaux.
Celui qui répare son réel, et se prend à rêver, goutte à la délivrance,
et d'amour peut se soûler.
Ayez l'audace amusante de ne pas vous empêcher.
Celui qui attend ne voit rien arriver.